À quoi comparer Ta toute-puissance miséricordieuse Sire ?
À une brise de printemps, un zéphyr après un long hiver à subir
au silence qui pour être n'a pas besoin de faire du bruit
à l'océan, radieux lorsque la marée le pétrit
au rire du ciel, à Ta lampe au firmament
au tigre quand il feule près du paon
aux effondrements tectoniques, aux entrechocs d'étoiles
au vent du soir quand l'été frôle tentures, robes et voiles
La Création, miroir de Ton être profond
Voilà bien Sire une excellente comparaison
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