mardi 7 mars 2017
Ton air large, rond, salutaire
Sire, difficile de vivre au milieu de ceux qui Te connaissant
et même baptisés crachent sur Ton nom par intellectualisme
par orgueil, infatuation, par excès de cérébralisme
par désinvolture, nonchalance, par haine de soi de sot suffisant
Ça babille, bavasse, jacasse et caquète
une vraie basse-cour aux relents nauséabonds
un air à couper au couteau, fientes, étrons
ambiance bah ! mortuaire des corps en miettes
Sors-moi de là Seigneur
que je respire Ton air
large, rond, salutaire
parfume, embaume les heures
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