le cœur se dilate, l'esprit se réjouit, l'âme
trouve la raison, la louange vole vers les nues
De l'homme Tu exiges le meilleur, comme un père qui aime
ses enfants Tu pousses au dépassement et réclames
Ton dû, de Ton existence une conscience suraigüe
Quel que soit le chemin que Tu me fais parcourir
seul Ta bonté providentielle en pave les détours
obstacles, effondrements, les pentes glissantes
Réponds-je à Tes attentes, comble-je Tes espoirs Sire ?
Je fais ce pourquoi Tu m'as désirée, j'amène le jour ?
Reçois mes peines Seigneur même bien trop insuffisantes
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