jeudi 6 juillet 2017
Sire, quand Tu nous as créé
Sire, quand Tu nous as créés avec le libre arbitre en prime
Tu savais très bien à quoi Tu T'exposais - Tu as anticipé
la chute de Ta créature par le sacrifice sur la croix, scellé
la victoire de Ton plan de salut au cœur du plus infime
Moi, mon libre arbitre c'est de Te parler, Te rendre louange
encore et encore - qu'irais-je faire d'autre ? J'ai compris qui Tu es Seigneur
On n'échange pas l'or pour du plomb, que me contenterais-je d'inférieur ?
Tu m'as séduite, depuis je ne veux chanter qu'avec les mésanges
Les oiseaux des champs ne sont-ils pas des Puissances travesties
en boule d'ouate pennée d'ailes, l'œil circulaire, la gorge
encline au chant que la gratitude pour Toi Sire forge ?
Je parie mon libre arbitre, ma tête, destin, esprit
Le libre arbitre sait se soumettre au juste, au beau, au bien
Il est sagace, obtient l'avantage, distingue hiérarchie
De lui la chute n'est pas venue, lui il est du Suprême infini
le bonus, la couronne, la boussole, l'ancre, le grand divin
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